Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (22) : Le Candaulisme JusquAu Bout
Avertissement : ce récit peut choquer, sur le plan de la morale. Il est en fait le symbole de lamour sans limites que me porte Philippe, au-delà de laccomplissement de ses fantasmes candaulistes.
Depuis notre rencontre et, en particulier, la première fois où il mavait possédée en présence de mon mari Philippe, Rachid avait dit que, le moment venu, il voulait me féconder.
Pendant les premières semaines de notre trio candauliste, Rachid mavait peu à peu transformée en «salope intégrale» et javais accepté toutes les épreuves dinitiation quil avait imposée, sans rechigner. Au contraire, jassumais pleinement mon hypersexualité qui navait plus de limites, de même que Philippe poussait au plus loin son candaulisme. De même, Philippe avait assumé, avec Rachid, sa bisexualité quil avait longtemps refoulée. Et je prenais le plus grand plaisir à voir mon époux chéri jouir sous les assauts de celui qui était devenu notre mâle à tous les deux.
La seule ombre au tableau était la menace que faisait peser Marie C sur notre ménage à trois. Elle avait beaucoup dinfluence sur Rachid et était bien décidée à me séparer de Philippe quelle convoitait.
Au moment où se passe ce que je vais raconter, je suis toujours amoureuse de Rachid. Jai pensé quaccomplir ce quil avait annoncé serait un moyen de consolider notre trio autour dune famille.
Jen ai dabord parlé à Rachid.
Rachid, mon chéri, Philippe, en insistant pour que jassume mon hypersexualité et en te mettant sur mon chemin, avait raison. Et toi tu mas rendu heureuse en me faisant découvrir des plaisirs que je nimaginais pas.
Javais deviné ton potentiel et ce nest pas fini. Je sais que tu en veux toujours plus et, crois-moi, tu nas pas fini de te faire baiser par tous ceux à qui je vais toffrir. Tu rends particulièrement heureux mes potes de la cité, ils nont jamais connu une salope comme toi.
Je suis heureuse que tu sois fière de moi et je ferai toujours ce que tu veux.
Oui, ce sera la preuve que tu es à moi totalement, que tu es ma femelle. Mais je te préviens, il nest pas question pour moi de divorce et de paternité. Cest Philippe qui devra assumer. Ca dépend donc de lui.
Aveuglée par mes sens, je ne réalisais pas le cynisme monstrueux de Rachid, malgré son jeune âge. Ce quil mannonçait là, il lavait déjà fait avec son ancienne professeure de Français, Sylviane (voir récit numéro 9), avec laquelle il avait déjà refusé dassumer sa paternité. Rachid était un fauve, un prédateur et navait aucun sentiment, seulement celui de la prétendue revanche sociale du jeune caïd de cité qui pensait régler ses comptes à travers un couple de «bourges».
Ainsi Rachid renvoyait la décision à Philippe. Jen ai donc parlé à mon mari. Ce jour-là plus que jamais, jai pu mesurer la force de son amour.
Après de mavoir demandé si jétais certaine de vouloir cela, il ma immédiatement donné son accord et confirmé que cet serait le nôtre. Il ma juste précisé quil aimerait, si Rachid et moi en étions daccord, être présent, être près de moi, au moment de la conception.
Mon Philippe, je taime. Jai beaucoup de chances de tavoir rencontré et je sais que tu seras un père merveilleux. Bien entendu, tu peux être près de moi et je veux que tu sois à mes côtés. Tu me tiendras la main, tu membrasseras, tu me caresseras. A ce moment si important dans ma vie de ma femme, jaurais besoin de ta tendresse, de ta présence, de ton amour. Et tu me donnes la plus belle des preuves damour. Viens, mon amour, jai envie de toi. Laisse-toi faire, jai envie de te faire lamour, comme lors de la première fois où nous sommes devenus amants. Tu te souviens ?
Comment pourrais-je oublier ça ? Je suis le mari dune femme exceptionnelle.
Tu sais que tu me rends heureuse, Philippe. Jai eu tort de tant résister à ce que tu voulais pour moi.
Je ne me lasse pas dêtre le témoin de ton plaisir.
Pas seulement le témoin, lacteur. Sans toi, rien naurait été possible. Quand je me fais baiser, mon plaisir est décuplé quand tu es là. Je sais que tu adores que ta chérie soit devenue une putain, une salope intégrale. Il suffit que je vois ton regard complice, tes paroles tencouragement. Que je te vois bander, te caresser, te branler et même jouir sans avoir besoin de te toucher.
Ca choque beaucoup de monde, mais je men fiche car nous sommes heureux ainsi. Jai limpression de te faire lamour par procuration.
Cest exactement cela et cest aussi à toi que je penserai quand Rachid me fécondera. Personne ne peut comprendre cela. Tu es sûr de toi, Philippe ? Tu nauras aucun regret ?
Comment peux-tu en douter ?
Je taime, mon mari candauliste.
Je taime, mon épouse hypersexuelle.
Tu ne me quitteras jamais ? Même pour Marie C ?
Ni pour elle, ni pour une autre !
Embrasse-moi
Ce soir-là, nous avons longuement fait lamour, un peu comme si cétait la première fois. Philippe avait une belle érection, certes pas comparable à Rachid et aux amants bien membrés dont je raffole, mais qui exprimait son immense désir pour moi. Jai su maîtriser les impatiences de Philippe, le rassurer, éviter que son excitation ne débouche sur cette éjaculation précoce qui mavait si souvent frustrée. Nous avons pris tout notre temps pour les caresses et les baisers. Philippe, avec sa langue, sest longuement occupé de mes petits seins si sensibles et a pratiqué un cunnilingus qui ma rompu de plaisir. Jai, à mon tour, pratiqué une longue fellation sur sa verge. Jai veillé à ce quil ne jouisse pas dans ma bouche, alors que jadore son sperme et, que, depuis que nous vivons ensemble, je commence généralement ma journée par une pipe, pour que mon chéri se vide dans ma bouche. Je voulais quil me prenne, je voulais jouir par sa queue.
Je me suis mise assise sur lui et jai choisi la position dAndromaque, celle qui me permet le mieux de maîtriser le coït et de ralentir le moment où il explosera en moi. Une position qui facilite les baisers, les caresses et me permet de voir monter en lui le plaisir. Philippe, à cet instant, nétait plus le mari candauliste et cocu, mais un amant, qui me donnait un plaisir infini.
Rachid, qui venait de rentrer, fût attiré par nos cris de plaisir. Il pensait que jétais en train de me faire sauter par un autre homme. Surpris par la scène, il prit soin de ne pas nous interrompre.
Oui, mon Philippe, cest bon, continue, baise ta putain de femme. Tu aimes ça, mon chéri ?
Oh oui, jadore, tu es exceptionnelle !
Qui te donne le plus de plaisir, moi ou Marie ?
Cest toi, mon Olga, je taime.
Je nen peux plus, je vais venir.
Jouissons ensemble mon chéri. Vide toi en moi, vas-y, profites en car tu ne pourras plus le faire avant que je sois enceinte !
Olga, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Ahhhhh je taime !!!!!!!!!!
Cest alors que je vis Rachid.
Petite garce ! Mets-toi à quatre pattes que je te remplisse à mon tour. Tu mas excité !
Oui, Rachid vient me la mettre bien profond.
Nous avons copulé toute la nuit et jai pu avoir droit à une double pénétration. Certes Philippe ne pouvait, comme amant, rivaliser avec Rachid, mais ce trio me laissa épuisée, au bout de la nuit.
Au matin, jannonçais à Rachid laccord de Philippe.
Tu es bien sûr de toi, Philippe ? Tu es certain de vouloir aller jusque-là ? Nous allons le faire, mais je veux tentendre me le demander.
Oui, Rachid, je te demande de féconder mon épouse.
Alors, nous nous y mettrons quand Olga aura sa période favorable. Dici là, ni toi, ni moi nous ne la toucherons. Elle cessera de prendre la pilule. De mon côté, je naurai aucun rapport avec dautre femme et, elle, on va la mettre au repos.
Ces conditions étaient particulièrement dures pour moi. Je passais dune hypersexualité exacerbée à une abstinence totale. Même réduite à une courte période, ce fut particulièrement difficile. Jai la chance davoir des cycles réguliers, ce qui me permettait de bien déterminer la période favorable.
Ce fut comme un soir de fête. Nous avons fait un bon repas, évitant de trop boire. Les hommes avaient mis un beau costume, et moi une robe de soirée au décolleté vertigineux et au dos nu. Jétais parfaitement maquillée et coiffée. Prête pour une nouvelle nuit de noces, avec mon amant, devant mon mari consentant et complice.
Le moment est venu. Philippe me prend par la main et me conduit vers mon amant, moffrant à lui.
Rachid me prend dans ses bras et me serre contre lui. Je sens contre moi sa formidable érection.
Mes seins sécrasèrent sur Rachid, ma cuisse semboîta entre les siennes. Son visage se pencha sur le mien.
Rachid, je moffre complétement à toi devant mon mari
Sans répondre, il posa sa bouche sur la sienne. Nos langues et nos salives se mélangèrent. Mon bassin accentua la pression sur son érection. Il sortit sa queue, son érection était encore plus impressionnante que la première fois que javais découvert sa queue, dans lascenseur où il fit de moi sa femelle. Sa queue raide fit un bond en lair, aussitôt absorbée par ma bouche vorace. Comme sa queue mavait manqué !
Il avait trop envie de moi pour se satisfaire dune pipe. Et de toute façon, ce nest pas ce que nous voulions ce jour-là.
Philippe, je sais que tu adores ça. Viens honorer la queue du mâle qui va posséder et féconder ta femme.
Philippe se mit à genoux devant notre amant commun et prit sa verge en bouche, tout en se masturbant. Je savais que mon mari était très doué pour les fellations. Il ne fallait pas que Rachid se vide dans sa bouche. Rachid prit sa tête entre les mains et enfonça sa queue bien au fond de la bouche, quil baisa un moment, indifférent aux nausées de mon mari à qui il imposait une gorge profonde.
Relève-toi Philippe. Allons dans la chambre pour accomplir ce que nous avons décidé de faire. Je moccuperai de toi et de ton petit cul plus tard, quand Olga sera enceinte.
Oui. Vite !
Philippe et moi avions répondu ensemble, dune même voix, impatients, mon mari comme moi, que cela se fasse.
Une fois dans la chambre conjugale, Rachid menlace et passe une main entre mes cuisses. Sa main progresse entre mes cuisses qui se sont séparées, bâillonnée par sa bouche, je gémis sous ses caresses osées, ses doigts sont enfoncés dans ma chatte.
Lève-toi, Olga
Rachid fait glisser ma robe à terre, fait pénétrer sa main dans ma culotte, je plie les genoux pour mieux offrir ma chatte, les yeux révulsés, la bouche ouverte, je savoure les caresses de mon mâle, de celui qui va me féconder devant mon mari.
Tu mouilles cochonne ! Philippe, tète les seins de ton épouse, nous allons la faire jouir, il faut la calmer, elle nen peut plus.
Rachid baisse lentement la culotte trempée, je nai jamais autant mouillé. Une fois entièrement nue, je mallonge sur le lit les jambes écartées, Rachid pose sa bouche sur ma fente, Philippe, dune main guide sa queue vers ma bouche. Javale sans hésiter le gland où perle une grosse goutte. Il est prévu que mon mari se vide dans ma bouche, pendant que mon vagin sera exclusivement réservé à Rachid.
Comme toujours, la langue experte de Rachid me rend folle, je suis secouée par un premier orgasme, alors que mon mari libère une quantité incroyable de foutre dans ma gorge. Le foutre, en grande quantité coule de ma bouche. Comme jadore avaler la semence des mâles et tout particulièrement le sperme de Philippe. Je fixe Philippe et passe mes doigts sur mes lèvres pour ensuite les lécher. Jéchange un baiser amoureux dabord avec Philippe, puis avec Rachid.
Je me couchais nue au beau milieu du lit, exposée comme une fille de joie.
Je ne pouvais plus attendre. Je voulais être baisée.
Baise-moi Rachid, féconde-moi ! Ma chatte est béante, trempée. Les pointes de mes seins sont dures, presque douloureuses tellement je suis en chaleur.
Je te le demande une dernière fois : tu ne le regretteras pas ?
Sûrement pas ! Enfonce-toi maintenant ! Philippe, mon bébé, approche, Rachid va me prendre en levrette. Je veux que tu sois tout près de moi quand ce sera le grand moment. Tu las déjà vu si souvent menfiler mais cette fois, cest particulier. Mon étalon va me saillir, déposer en moi sa semence !
Le membre raide est prêt à minvestir, dun coup Philippe sen saisit,
Je veux la mettre moi-même dans ta moule
Oh oui, mon chéri. La queue de Rachid est linstrument du plaisir que tu me donnes.
Tiens la bien je mavance. Olga, cambre toi au maximum ton mari veux voir
Philippe prend plaisir à frotter le gland congestionné sur ma fente. Les lèvres se séparent, Rachid donne un coup de rein, impatient de me baiser devant Philippe et de me féconder devant lui.
Regarde, Philippe, je vais baiser ta femme et lengrosser. Tu es bien daccord ?
Oui, Vas-y, ne la fais plus attendre, fais-la jouir et fécondes la.
Je pousse un gémissement quand nos deux pubis saccolent et sencollent.
Je suis au fond. Cette chatte était faite pour ma queue. Je vais te ramoner à fond !
Oh oui, vas-y, baise-moi mon beau mâle. Philippe, mon chéri tiens-moi la main. Embrasse-moi, caresse-moi pendant que mon mâle me prend !
La danse infernale du coït commença. Nos chairs sentrechoquèrent, mes seins ballottèrent en tous sens. Jamais je navais été baisée avec autant de vigueur !
Les couilles lourdes de Rachid tapent sur mes fesses. Je sais quelles sont pleines et que, bientôt, tout cela sera dans mon vagin.
Nous changeâmes de position, pour prendre la position du missionnaire, plus classique et, dit-on plus propice à une conception. Mes muscles se contractèrent sur sa queue. Quand Rachid prit appui sur mes mains, je le ceinturai de mes jambes.
Rachid me pilonne. Mon corps secoué et mes seins sont ballottés. Philippe suce mes tétons, il sait que jadore quand une langue vient sen occuper à ce moment-là.
La scène le fait bander, Rachid pousse des han de bucherons, je pousse des hurlements de plaisir. Jenchaîne les orgasmes, mais Rachid poursuit sans relâche. Il veut me , je manque dair, mon cur bat à cent à lheure. Je pense que je vais mourir de plaisir. Je secoue la tête de droite à gauche, les deux hommes réussissent, tour à tour, à membrasser, seul moment où je cesse mes hurlements. Nos baisers sont interminables et ne cessent que pour éviter l. Jen profite pour labourer au sang le dos de Philippe et sa poitrine.
Oh salaud, tu me tues, cest trop bon, je nen peux plus, vas-y, mets-la moi plus profond, plus vite, démonte-moi.
Regarde Philippe, ses yeux sont révulsés, son visage est déformé par le plaisir. Tu aimes ?
Jadore ! Finis-la, tu vas la , vide toi en elle, engrosse la !
Philippe dirige sa queue vers moi et menvoie de belles giclées sur le visage et les seins, alors que Rachid se vide dans ma chatte. Ses giclées sont puissantes et interminables.
Cest bon ! Cest bon ! Cest bon ! Je te sens gicler ! Encore ! Encore ! Encoreeeeee !
Tout le poids de Rachid pesait sur moi. Des coulées brûlantes suintèrent de ma vulve. Dès ce moment-là, jétais convaincue que cette première tentative serait la bonne et que lun des spermatozoïdes de Rachid maurait fécondée. Jen aurais confirmation un peu plus tard, par lusage de tests de grossesse.
Nous étions tous les trois brisés par la séance torride que nous venions de vivre. Je me suis affalée sur le grand lit conjugal, où je venais daller au bout de ladultère et du candaulisme.
Jétais entre mes deux hommes, chacun avait sa tête sur mon épaule. Après lérotisme torride, ce fut un moment de tendresse, surtout avec Philippe. Je les embrassais à tour de rôle :
Merci Rachid, jamais tu ne mavais donné autant de plaisir. Je suis certaine que nous y sommes arrivés à la première tentative.
Tu es quand même la plus grande des salopes que je nai jamais rencontrées. Dès que jai repris des forces, on remet le couvert. Je serai sur les rotules à la fin de ces journées, mais tinquiètes, tu seras en cloques, petite pute !
Je compte bien ne pas te laisser un instant de répit. Je suis insatiable avec toi.
Salope, tu veux me . Dès quon aura confirmation, je pourrai te ramener à la cité et ailleurs, une chienne comme toi a besoin dêtre saillie. Je veux te faire faire de labattage.
Je suis daccord et mon mari aussi. Il adore voir sa chérie se comporter comme une chienne.
Je me suis alors blottie dans les bras de Philippe.
Tu sais que je taime, Philippe T. Je ne compte plus les mâles qui tont fait cocu, mais personne ne me séparera jamais de toi. Tu mas prouvé aujourdhui létendue de ton amour.
Je me suis remise sur le dos et jai commencé à masturber les deux hommes. Ils reprenaient vigueur. Ils ont dabord commencé à soccuper de mes seins, sachant que cétait le meilleur moyen de mexciter. Puis Philippe a soigneusement nettoyé ma chatte béante, encore pleine de mes sécrétions et du sperme de mon mâle. Jai ainsi à nouveau joui grâce à ce cunnilingus. Sans me laisser de répit, Rachid a recommencé le coit. Ce soir-là, il ma honorée plusieurs fois, ne se vidant, comme convenu, que dans ma chatte. Philippe était toujours près de moi, me disant des mots damour, me caressant, me couvrant de baisers. Je lui ai vidé aussi les couilles, soit en le masturbant, soit en le suçant à fond.
Je lui aussi offert le plaisir dune double pénétration. Il ma dit avoir senti, à travers ma paroi, la grosse queue de Rachid. Nous avons aussi, ensemble ou alternativement, avec notre langue et notre bouche, réveillé la virilité de notre amant commun.
Nous nous sommes endormis, tard dans la nuit, morts de plaisir et de fatigue, dans ce grand lit où régnait une odeur de stupre mais où nous nous étions aimés. Nous savions que l qui naîtrait de cette folle soirée serait, non le fruit de la débauche, mais de lamour. Et cest dans les bras de Philippe que je me suis endormie.
Tard le lendemain, en me réveillant, il me semblait que jétais encore en train de me faire prendre. Cétait Philippe, équipé dun préservatif, qui était en train de me besogner.
Oh oui, que cest bon dêtre réveillée ainsi. Dis-moi, mon mari, tu aimes ta femme adultère, ta putain, qui ta fait un bâtard hier soir.
Cest ton , mon , notre . Je taime mon Olga.
Je lui ai demandé denlever son préservatif pour quil puisse jouir dans ma bouche, comme jaime le faire chaque matin.
Cest ainsi que sest passée la conception de notre première fille, Lucie, aujourdhui âgée de 8 ans et enregistrée à létat-civil comme la fille de Philippe.
Une fois terminée cette période de fécondation, Rachid entendait bien reprendre mon « apprentissage » de salope intégrale, u moins tant que ma grossesse le permettait.
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